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LES CHRONIQUES DE LUDOVIK
12 octobre 2009

JUSQU'EN ENFER

JUSQU'EN ENFER : RETOUR AUX SOURCES

Ce que RAIMI dit, RAIMI fait !

 

Après le carton plein de la franchise Spiderman et histoire de redescendre sur terre, Sam Raimi nous congratule d'une œuvre primaire, non sans nous rappeler « ses » origines du mal à savoir Evil Dead. Jusqu'en enfer est d'abord une histoire d'humains, faible et avide de reconnaissances. L'héroïne est prise dans le tourbillon de la réussite, de l'envie de tourner le dos définitivement à sa vie de petite provinciale. Afin d'obtenir le poste de manager qu'elle convoite, elle refuse une rallonge de crédit à une vieille femme,  se sentant humiliée celle-ci lui  jette un sort  en lui promettant soit une mort atroce soit un repentie à genoux (manque de bol cette femme est une sorcière gitane).

 

S’engage alors une course contre le temps car elle n’as que trois jours pour annuler ce sort et rester en vie.

Sam Raimi réussi la ou d’autres on lamentablement échoués, à savoir mêler la peur au rire.

 

Quelques scènes horrifiques menées de mains de mettre par Raimi accouplées à un humour potache dont lui seul détient le secret, voila pour l’ambiance. Sam Raimi nous tiens en permanence entre deux eaux, doit on avoir peur de cette descente aux enfers guidée par un esprit des plus dangereux, ou doit on rire aux larmes à la vue de quelques scène simplement hilarante ?? Toujours dans l’attente voila son secret ! Les évènements s’enchaines à grande vitesse, les héros pense se sortir d’affaire, mais le mal revient encore plus fort pour les replonger plus loin dans l’horreur. Même si la fin nous est communiquez trop tôt, jusqu’en enfer est un divertissement haletant d’une beauté visuel des plus intéressante (la scène du mouchoir qui semble doté de vie est superbe) même si les maquillages ne manque pas de nous rappeler Evil Dead et donc les années 80.

 

De ce film ressort une question essentielle, doit on tout accepter pour réussir et gravir les échelons ? Car quoi que l’on choisisse la chute est bien plus douloureuse.

 

Merci M. Sam Raimi de nous faire partager votre vue du carriérisme et surtout d’avoir su garder la tête froide après le succès tant mérité du blockbuster qu’est Spiderman.

 

 

Que le cinéma soit avec vous

 

Ludovik

 Sam Raimi dans Jusqu'en enfer (Affiche)

 

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